Eric, 53 ans, personne privée d’emploi et bénévole

« Malgré mon handicap, j’aurais souhaité remettre le pied à l’étrier en trouvant un poste adapté. Mais il m’a été signifié que je ne faisais plus partie du monde du travail. Dans le cadre du projet «Ménimur Territoire zéro chômeur que je trouve formidable par l’humanité qu’il apporterait, je pourrais exercer un emploi à domicile comme celui d’écrivain public. J’aime écrire et j’aime rendre service. Ce dispositif fait passer l’humain bien avant tout et permet d’intégrer des gens qui sont sur le bord de la route. Je pense que le monde du travail ne fonctionne plus, que le faible est écrasé. Selon moi, ce qui pourra fonctionner dans l’avenir, c’est la solidarité dans de petits territoires où la personne sera considérée comme un être humain. Je suis déjà prêt à donner de mon temps et de mon énergie pour soutenir ce beau projet et aider à la préparation et à sa mise en place »
« Malgré mon handicap, j’aurais souhaité remettre le pied à l’étrier en trouvant un poste adapté. Mais il m’a été signifié que je ne faisais plus partie du monde du travail. Dans le cadre du projet «Ménimur Territoire zéro chômeur que je trouve formidable par l’humanité qu’il apporterait, je pourrais exercer un emploi à domicile comme celui d’écrivain public. J’aime écrire et j’aime rendre service. Ce dispositif fait passer l’humain bien avant tout et permet d’intégrer des gens qui sont sur le bord de la route. Je pense que le monde du travail ne fonctionne plus, que le faible est écrasé. Selon moi, ce qui pourra fonctionner dans l’avenir, c’est la solidarité dans de petits territoires où la personne sera considérée comme un être humain. Je suis déjà prêt à donner de mon temps et de mon énergie pour soutenir ce beau projet et aider à la préparation et à sa mise en place »
Claire, stagiaire devenue bénévole

«Pour moi Nov’ita c’est d’abord un stage d’étude de 2 mois. Je connaissais le dispositif grâce à mes études mais également par les médias et personnes impliquées dans celui-ci. Un entretien avec Sandrine et me voilà dans l’association. J’ai pu être sur différentes missions comme les ateliers, événements, commission habitants, nouveaux modèles économiques, groupe de travail avec les demandeurs d’emplois. A la fin de mon stage, j’ai dit à Sandrine que je souhaitais continuer de m’investir pour l’association, devenir bénévole tellement cette expérience était enrichissante humainement. Et oui en 2 mois je m’étais déjà bien attachée aux bénévoles, demandeurs d’emplois, et bien sûr j’adhérais complètement au dispositif TZCLD. Dispositif que je trouve indispensable dans notre société et que je voulais continuer à promouvoir au sein de l’association mais aussi en dehors. Ce que ça m’a apporté, je dirais que ce sont des connaissances sur le projet et apprendre à en défendre ses valeurs. Le fonctionnement d’une jeune association avec un mode de management très participatif . Ça m’a également apporté une richesse de rencontres. En effet toutes les personnes étant à Nov’ita sont toutes différentes les unes des autres, ce qui apporte une énorme richesse à la création de l’EBE et qui fait également que l’on a différents points de vue, ainsi il faut donc concilier avec les personnalités de chacun. Je ne souhaite qu’à Nov’ita son ouverture en 2020 ! Et oui c’est nous tous bénévoles/demandeurs d’emplois/ partenaires avec notre travail de fourmis qui auront créé cette belle entreprise à but d’emploi. Chacun d’entre nous pourras en être fier, de sa pierre apportée au projet.»
«Pour moi Nov’ita c’est d’abord un stage d’étude de 2 mois. Je connaissais le dispositif grâce à mes études mais également par les médias et personnes impliquées dans celui-ci. Un entretien avec Sandrine et me voilà dans l’association. J’ai pu être sur différentes missions comme les ateliers, événements, commission habitants, nouveaux modèles économiques, groupe de travail avec les demandeurs d’emplois. A la fin de mon stage, j’ai dit à Sandrine que je souhaitais continuer de m’investir pour l’association, devenir bénévole tellement cette expérience était enrichissante humainement. Et oui en 2 mois je m’étais déjà bien attachée aux bénévoles, demandeurs d’emplois, et bien sûr j’adhérais complètement au dispositif TZCLD. Dispositif que je trouve indispensable dans notre société et que je voulais continuer à promouvoir au sein de l’association mais aussi en dehors. Ce que ça m’a apporté, je dirais que ce sont des connaissances sur le projet et apprendre à en défendre ses valeurs. Le fonctionnement d’une jeune association avec un mode de management très participatif . Ça m’a également apporté une richesse de rencontres. En effet toutes les personnes étant à Nov’ita sont toutes différentes les unes des autres, ce qui apporte une énorme richesse à la création de l’EBE et qui fait également que l’on a différents points de vue, ainsi il faut donc concilier avec les personnalités de chacun. Je ne souhaite qu’à Nov’ita son ouverture en 2020 ! Et oui c’est nous tous bénévoles/demandeurs d’emplois/ partenaires avec notre travail de fourmis qui auront créé cette belle entreprise à but d’emploi. Chacun d’entre nous pourras en être fier, de sa pierre apportée au projet.»
Mathilde, 29 ans, personne privée d’emploi et bénévole

«Je suis Mathilde, j’ai 29 ans. J’habite sur vannes depuis 2013 et sur menimur depuis fin 2016. J’ai eu ma fille en 2015 et j’ai décidé de prendre du temps pour m’occuper d’elle. Quand il a fallu que je recherche du travail il y a un peu plus d’un an ça été très très compliqué. Aucune porte ne s’ouvrait, que des lettres de refus. Pourtant j’ai un bac +7, mais malgré mes diplômes je ne trouve pas d’emploi : trop qualifiée ou pas la bonne qualification. Alors pour moi Nov’ita c’est mon dernier espoir… je vois en Nov’ita une porte qui s’ouvre enfin pour construire un travail qui me correspondra.»
«Je suis Mathilde, j’ai 29 ans. J’habite sur vannes depuis 2013 et sur menimur depuis fin 2016. J’ai eu ma fille en 2015 et j’ai décidé de prendre du temps pour m’occuper d’elle. Quand il a fallu que je recherche du travail il y a un peu plus d’un an ça été très très compliqué. Aucune porte ne s’ouvrait, que des lettres de refus. Pourtant j’ai un bac +7, mais malgré mes diplômes je ne trouve pas d’emploi : trop qualifiée ou pas la bonne qualification. Alors pour moi Nov’ita c’est mon dernier espoir… je vois en Nov’ita une porte qui s’ouvre enfin pour construire un travail qui me correspondra.»
Cécilia, 48 ans, personne privée d’emploi et bénévole

«Je porte un intérêt pour le projet car il est novateur et propose une dynamique de groupe qui réunit des demandeurs d’emploi qui possèdent diverses compétences
mais qui ne trouvent pas un travail qui correspond à leurs souhaits. Ce dispositif à besoin de personnes polyvalentes auquel je pourrais correspondre. J’ai travaillé huit ans en hôtellerie-restauration, vingt ans dans la coiffure. Je suis actuellement en reconversion dans l’administratif et je me forme
en comptabilité. Je recherche un emploi depuis juin 2016. J’ai travaillé en contrat à durée déterminée au cours de ces deux dernières années, mais trouver un poste pérenne est très
difficile. Pour certains, je ne suis pas assez diplômée, alors que
pour d’autres, je suis trop diplômée. J’ai des périodes de découragements car il y a peu de débouchés et pas toujours de réponses aux courriers envoyés. Mais l’espérance revient dès que je postule à nouveau. Mon implication dans le monde associatif et mes expériences pourraient me conduire, si cela est possible, à m’engager aux côtés de Nov’ita.»
«Je porte un intérêt pour le projet car il est novateur et propose une dynamique de groupe qui réunit des demandeurs d’emploi qui possèdent diverses compétences
mais qui ne trouvent pas un travail qui correspond à leurs souhaits. Ce dispositif à besoin de personnes polyvalentes auquel je pourrais correspondre. J’ai travaillé huit ans en hôtellerie-restauration, vingt ans dans la coiffure. Je suis actuellement en reconversion dans l’administratif et je me forme
en comptabilité. Je recherche un emploi depuis juin 2016. J’ai travaillé en contrat à durée déterminée au cours de ces deux dernières années, mais trouver un poste pérenne est très
difficile. Pour certains, je ne suis pas assez diplômée, alors que
pour d’autres, je suis trop diplômée. J’ai des périodes de découragements car il y a peu de débouchés et pas toujours de réponses aux courriers envoyés. Mais l’espérance revient dès que je postule à nouveau. Mon implication dans le monde associatif et mes expériences pourraient me conduire, si cela est possible, à m’engager aux côtés de Nov’ita.»
mais qui ne trouvent pas un travail qui correspond à leurs souhaits. Ce dispositif à besoin de personnes polyvalentes auquel je pourrais correspondre. J’ai travaillé huit ans en hôtellerie-restauration, vingt ans dans la coiffure. Je suis actuellement en reconversion dans l’administratif et je me forme
en comptabilité. Je recherche un emploi depuis juin 2016. J’ai travaillé en contrat à durée déterminée au cours de ces deux dernières années, mais trouver un poste pérenne est très
difficile. Pour certains, je ne suis pas assez diplômée, alors que
pour d’autres, je suis trop diplômée. J’ai des périodes de découragements car il y a peu de débouchés et pas toujours de réponses aux courriers envoyés. Mais l’espérance revient dès que je postule à nouveau. Mon implication dans le monde associatif et mes expériences pourraient me conduire, si cela est possible, à m’engager aux côtés de Nov’ita.»
Marie-Christine, 58 ans, personne privée d’emploi et bénévole

«Depuis des années j’étais engluée dans une routine monotone, je n’avais quasiment plus de vie sociale, j’étais totalement désabusée et ne croyais plus en mes compétences. Ma rencontre avec les bénévoles de Nov’ita m’a réveillée en me faisant comprendre que tout est possible. Au fil des semaines je me suis épanouie en participant à diverses réunions et en rencontrant toutes sortes de personnes. J’ai intégré la Commission Habitants et fait du porte à porte. Je reprends confiance en moi. Mon désir d’apprendre est revenu également et je me suis investie dans l’apprentissage de deux nouveaux logiciels InDesign et Photoshop, ce qui m’a permis de mettre en page le livret d’accueil ainsi que certains flyers. Mes journées sont occupées, mes semaines ont de nouveau un week end et surtout je me sens utile en contribuant à la réussite d’un projet formidable, ouvrir une EBE afin de donner un CDI à chaque demandeur d’emploi volontaire, ce que j’espère bénéficier. Merci aux bénévoles de Nov’ita qui ont fait en sorte que je ne me sente plus seule et qui m’ont donné l’espoir que mon avenir ne se résumait pas à attendre la retraite.»
«Depuis des années j’étais engluée dans une routine monotone, je n’avais quasiment plus de vie sociale, j’étais totalement désabusée et ne croyais plus en mes compétences. Ma rencontre avec les bénévoles de Nov’ita m’a réveillée en me faisant comprendre que tout est possible. Au fil des semaines je me suis épanouie en participant à diverses réunions et en rencontrant toutes sortes de personnes. J’ai intégré la Commission Habitants et fait du porte à porte. Je reprends confiance en moi. Mon désir d’apprendre est revenu également et je me suis investie dans l’apprentissage de deux nouveaux logiciels InDesign et Photoshop, ce qui m’a permis de mettre en page le livret d’accueil ainsi que certains flyers. Mes journées sont occupées, mes semaines ont de nouveau un week end et surtout je me sens utile en contribuant à la réussite d’un projet formidable, ouvrir une EBE afin de donner un CDI à chaque demandeur d’emploi volontaire, ce que j’espère bénéficier. Merci aux bénévoles de Nov’ita qui ont fait en sorte que je ne me sente plus seule et qui m’ont donné l’espoir que mon avenir ne se résumait pas à attendre la retraite.»
Alban, 60 ans, personne privée d’emploi et bénévole

«J’ai commencé à travailler à 15 ans 1/2 après avoir été chassé du domicile parental pour incompatibilité d’humeur depuis ma naissance. La plupart des boulots que j’ai exercés produisaient une utilité douteuse. Par exemple j’ai contrôlé des opérations sur les marchés des capitaux dans plusieurs des plus grosses banques mondiales dont la seule fin était la spéculation sans créer aucun emploi ou activité. Jusqu’à 45 ans j’ai pratiqué toutes sortes de métiers : ouvrier agricole, vendeur, commercial , agent administratif, tech-nicien, formateur, responsable informatique. A 50 ans au top de ma forme professionnelle dans ma branche : informatique système sur les marchés des capitaux j’avais pété ma date limite de consommation donc j’ai été jeté aux ordures du marché de l’emploi. Après une séparation qui entraina une dépression je me rétablissais grâce à une amitié et à un groupe de méditation cadré par une vraie enseignante. Ma carrière a culminé comme agent d’accueil en contrat aidé l’année de mes 56 ans. Il n’a jamais été tenu compte de mes connaissances et expériences pour évoluer dans cet emploi malgré mes demandes serviles. J’ai un niveau bac + 5, je suis compétent mais je ne rentre pas dans les KAZES. Depuis la décharge publique du marché de l’emploi je n’ai pas été recruté pour les raisons suivantes : trop qualifié, pas assez qualifié, pas assez diplômé, pas assez jeune, trop chômeur depuis longtemps. Sans boulot tu ne vaux plus rien puisque t’as pas d’argent à investir pour consommer des activités ou des choses, les normaux t’ignorent car accaparés par leurs milieu, tes amis et tes enfants s’évaporent de peur de tomber dans ton vide. Tu deviens un spectre qui hante sa maison sans pro-jets ni visiteurs. Et si t’as pas de famille c’est la double peine surtout pendant les vacances. Selon l’Inserm le chômage par ses effets induits cause la mort de 10 à 15000 personnes par an. Un jour que je déambulais j’ai rencontré la Nov’ita Corporation et pris connaissance du projet d’ EBE. La démarche de Nov’ita traduit un début de reconnaissance des personnes à partir de leur créativité et leur désir d’accomplissement. Comme bénévole dans l’association, j’échange avec des humains d’horizons divers qui s’expriment avec cœur et raison. Travailler à leur côté fait surgir une émulation solidaire sans esquiver les conflits. Nous redécouvrons comme d’autres en France et dans le monde le sens de la communauté en élaborant des activités profitables et épanouissantes pour le bien commun. C’est parfois de la transpiration tant nos conditionnements normatifs sont puissants et insidieux. S’affranchir avec persévérance de l’aliénation productiviste (sa dernière chimère étant le numérique qui transforme le citoyen en big data) réclame de la vigilance et des méthodes par exemple les ateliers de communication non violente. Nous voulons répondre aux besoins de base des habitants de Ménimur qui sont ignorés ou non rentables pour le système dominant ou les deux. Novi’ta va créer des propositions concrètes à partir d’une construction collective avec les demandeurs d’emplois locaux en s’appuyant sur leurs capacités et désirs pour fonder l’EBE en devenir. Pour exercer notre droit inaliénable de vivre et de s’accomplir. » «Vous n’avez pas besoin de voir tout l’escalier, empruntez juste la première marche.» Martin Luther King
«J’ai commencé à travailler à 15 ans 1/2 après avoir été chassé du domicile parental pour incompatibilité d’humeur depuis ma naissance. La plupart des boulots que j’ai exercés produisaient une utilité douteuse. Par exemple j’ai contrôlé des opérations sur les marchés des capitaux dans plusieurs des plus grosses banques mondiales dont la seule fin était la spéculation sans créer aucun emploi ou activité. Jusqu’à 45 ans j’ai pratiqué toutes sortes de métiers : ouvrier agricole, vendeur, commercial , agent administratif, tech-nicien, formateur, responsable informatique. A 50 ans au top de ma forme professionnelle dans ma branche : informatique système sur les marchés des capitaux j’avais pété ma date limite de consommation donc j’ai été jeté aux ordures du marché de l’emploi. Après une séparation qui entraina une dépression je me rétablissais grâce à une amitié et à un groupe de méditation cadré par une vraie enseignante. Ma carrière a culminé comme agent d’accueil en contrat aidé l’année de mes 56 ans. Il n’a jamais été tenu compte de mes connaissances et expériences pour évoluer dans cet emploi malgré mes demandes serviles. J’ai un niveau bac + 5, je suis compétent mais je ne rentre pas dans les KAZES. Depuis la décharge publique du marché de l’emploi je n’ai pas été recruté pour les raisons suivantes : trop qualifié, pas assez qualifié, pas assez diplômé, pas assez jeune, trop chômeur depuis longtemps. Sans boulot tu ne vaux plus rien puisque t’as pas d’argent à investir pour consommer des activités ou des choses, les normaux t’ignorent car accaparés par leurs milieu, tes amis et tes enfants s’évaporent de peur de tomber dans ton vide. Tu deviens un spectre qui hante sa maison sans pro-jets ni visiteurs. Et si t’as pas de famille c’est la double peine surtout pendant les vacances. Selon l’Inserm le chômage par ses effets induits cause la mort de 10 à 15000 personnes par an. Un jour que je déambulais j’ai rencontré la Nov’ita Corporation et pris connaissance du projet d’ EBE. La démarche de Nov’ita traduit un début de reconnaissance des personnes à partir de leur créativité et leur désir d’accomplissement. Comme bénévole dans l’association, j’échange avec des humains d’horizons divers qui s’expriment avec cœur et raison. Travailler à leur côté fait surgir une émulation solidaire sans esquiver les conflits. Nous redécouvrons comme d’autres en France et dans le monde le sens de la communauté en élaborant des activités profitables et épanouissantes pour le bien commun. C’est parfois de la transpiration tant nos conditionnements normatifs sont puissants et insidieux. S’affranchir avec persévérance de l’aliénation productiviste (sa dernière chimère étant le numérique qui transforme le citoyen en big data) réclame de la vigilance et des méthodes par exemple les ateliers de communication non violente. Nous voulons répondre aux besoins de base des habitants de Ménimur qui sont ignorés ou non rentables pour le système dominant ou les deux. Novi’ta va créer des propositions concrètes à partir d’une construction collective avec les demandeurs d’emplois locaux en s’appuyant sur leurs capacités et désirs pour fonder l’EBE en devenir. Pour exercer notre droit inaliénable de vivre et de s’accomplir. » «Vous n’avez pas besoin de voir tout l’escalier, empruntez juste la première marche.» Martin Luther King
Philippe, 56 ans, personne privée d’emploi et bénévole

«J’ai découvert Nov’ita à la suite du courrier reçu de la Mairie de VANNES. Ayant contacté la cheffe de projet j’ai vite obtenu un entretien ; j’ai pu comprendre l’objectif du projet. Celui-ci convenait parfaitement à mes attentes, à cause de mon parcours qui du fait d’avoir une RQTH ne m’a pas toujours servi jusqu’à présent. Le fait déjà de pouvoir choisir son temps de travail, son futur métier et ou continuer celui en cours à des horaires choisis permettra à beaucoup de personnes de pouvoir se réintégrer dans le monde du travail avec plus de facilités et moins, beaucoup moins d’appréhensions. Ceci m’a permis d’intégrer l’équipe qui mène le projet au sein de Nov’ita, reprise d’une activité depuis octobre 2018 comme responsable de la commission recueil biens et services, plus un atelier dont je suis également responsable. Ceci en tant que demandeur d’emploi, j’ai pu reprendre confiance en moi, sortir de chez moi, rencontrer des gens formidables et totalement dévoués au projet, qui en plus ont une totale confiance en moi ce qui me rend encore plus fort pour m’investir au sein de l’association.»
«J’ai découvert Nov’ita à la suite du courrier reçu de la Mairie de VANNES. Ayant contacté la cheffe de projet j’ai vite obtenu un entretien ; j’ai pu comprendre l’objectif du projet. Celui-ci convenait parfaitement à mes attentes, à cause de mon parcours qui du fait d’avoir une RQTH ne m’a pas toujours servi jusqu’à présent. Le fait déjà de pouvoir choisir son temps de travail, son futur métier et ou continuer celui en cours à des horaires choisis permettra à beaucoup de personnes de pouvoir se réintégrer dans le monde du travail avec plus de facilités et moins, beaucoup moins d’appréhensions. Ceci m’a permis d’intégrer l’équipe qui mène le projet au sein de Nov’ita, reprise d’une activité depuis octobre 2018 comme responsable de la commission recueil biens et services, plus un atelier dont je suis également responsable. Ceci en tant que demandeur d’emploi, j’ai pu reprendre confiance en moi, sortir de chez moi, rencontrer des gens formidables et totalement dévoués au projet, qui en plus ont une totale confiance en moi ce qui me rend encore plus fort pour m’investir au sein de l’association.»
Kévin, 27 ans, bénévole

«Ce qui m’a intéressé dans le projet territoire zéro chômeur de Ménimur porté par Nov’ita c’est l’idée de partir des envies des personnes; ainsi ce n’est pas à chacun de s’adapter à ce que propose la société (par la loi de la demande des entreprises) et ceux qui «échoueraient» seraient ainsi stigmatisés, mais c’est la société qui s’adapte à leurs envies et ce qu’ils sont pour leur trouver un moyen d’exister dans la société. Ce renversement de paradigme est très bien incarné par Sandrine Berthier qui parvient non sans effort à l’insuffler aux bénévoles et aux partenaires. Je suis très content que cet aspect-là soit aussi bien affiché, car c’était au cœur de mon engagement au départ. Ce que j’apprécie au sein de Nov’ita c’est la richesse de la diversité des personnes que l’on rencontre, aussi bien du côté des bénévoles que des candidats à l’emploi. L’autre point que j’apprécie beaucoup au sein de Nov’ita, c’est qu’en ayant simplement envie de participer à des travaux ou des activités, et en l’exprimant, d’un naturel curieux, j’ai pu m’essayer à beaucoup de choses : animation/suivi de groupe, rédaction de charte, porte à porte pour recenser les besoins des habitants, et j’en passe. Dernièrement j’ai pu animer un atelier sur la mémoire et les stratégies de mémorisation. Je n’avais jamais fait ça non plus; j’avais seulement envie de partager des connaissances et un savoir-faire et j’ai pu le faire. Sandrine m’a fait confiance et les participants à l’atelier aussi. Ceci est pour moi la preuve qu’effectivement nous sommes tous capables, et pour ça il est primordial qu’on nous donne notre chance, et ceci n’est pas qu’un slogan, il est parfaitement incarné chaque jour au sein de Nov’ita. Merci à tous les bénévoles et à Sandrine d’insuffler ces valeurs propices à l’émergence et l’expression des envies de chacun.»
«Ce qui m’a intéressé dans le projet territoire zéro chômeur de Ménimur porté par Nov’ita c’est l’idée de partir des envies des personnes; ainsi ce n’est pas à chacun de s’adapter à ce que propose la société (par la loi de la demande des entreprises) et ceux qui «échoueraient» seraient ainsi stigmatisés, mais c’est la société qui s’adapte à leurs envies et ce qu’ils sont pour leur trouver un moyen d’exister dans la société. Ce renversement de paradigme est très bien incarné par Sandrine Berthier qui parvient non sans effort à l’insuffler aux bénévoles et aux partenaires. Je suis très content que cet aspect-là soit aussi bien affiché, car c’était au cœur de mon engagement au départ. Ce que j’apprécie au sein de Nov’ita c’est la richesse de la diversité des personnes que l’on rencontre, aussi bien du côté des bénévoles que des candidats à l’emploi. L’autre point que j’apprécie beaucoup au sein de Nov’ita, c’est qu’en ayant simplement envie de participer à des travaux ou des activités, et en l’exprimant, d’un naturel curieux, j’ai pu m’essayer à beaucoup de choses : animation/suivi de groupe, rédaction de charte, porte à porte pour recenser les besoins des habitants, et j’en passe. Dernièrement j’ai pu animer un atelier sur la mémoire et les stratégies de mémorisation. Je n’avais jamais fait ça non plus; j’avais seulement envie de partager des connaissances et un savoir-faire et j’ai pu le faire. Sandrine m’a fait confiance et les participants à l’atelier aussi. Ceci est pour moi la preuve qu’effectivement nous sommes tous capables, et pour ça il est primordial qu’on nous donne notre chance, et ceci n’est pas qu’un slogan, il est parfaitement incarné chaque jour au sein de Nov’ita. Merci à tous les bénévoles et à Sandrine d’insuffler ces valeurs propices à l’émergence et l’expression des envies de chacun.»
Une entreprise de Ménimur

«C’est la promesse d’un beau projet humain. Ce que je retiens c’est l’expérience de Pipriac où là j’ai pu constater l’épanouissement de personnes qui se réinventaient et reprenaient la main sur leur vie sociale. J’espère que vous amènerez Ménimur sur un même chemin. Et bravo pour votre investissement sans quoi rien ne se fera. J’admire votre courage….»
«C’est la promesse d’un beau projet humain. Ce que je retiens c’est l’expérience de Pipriac où là j’ai pu constater l’épanouissement de personnes qui se réinventaient et reprenaient la main sur leur vie sociale. J’espère que vous amènerez Ménimur sur un même chemin. Et bravo pour votre investissement sans quoi rien ne se fera. J’admire votre courage….»
Pauline,personne privée d’emploi et bénévole

«Faire des ateliers à l’association Nov’ita c’est réapprendre la vie en communauté, avoir de retour confiance en soi, car nous l’avons perdue depuis toutes ces années à être au chômage.»
«Faire des ateliers à l’association Nov’ita c’est réapprendre la vie en communauté, avoir de retour confiance en soi, car nous l’avons perdue depuis toutes ces années à être au chômage.»
Christopher, 29 ans, personne privée d’emploi et bénévole

«Étant à la recherche d’un emploi depuis 5 ans, et ayant reçu une RQTH (reconnaissance en qualité de travailleur handicapé) depuis bientôt 3 ans, je suis en mesure de pointer du doigt tous les travers de la recherche d’emploi. Tout d’abord Pôle Emploi : en 5 ans j’ai rencontré ma référente qu’une seule et unique fois lors de l’inscription, entre temps j’ai déménagé à Lorient et dû me réinscrire là-bas où je n’ai cette fois rencontré personne, puisque j’ai directement été envoyé vers cap emploi, cependant maintenant que je suis revenu sur Vannes, je dois passer par eux ne serait-ce que pour faire mon changement d’adresse et pouvoir être suivi par le cap emploi de Vannes. Je ne peux faire ce changement ni sur internet ni par téléphone, j’ai donc contacté ma référente par mail il y a plus d’un mois pour connaître la marche à suivre et je n’ai à ce jour aucune réponse. De manière quotidienne je regarde les offres proposées par pôle emploi, à cause de ma situation actuelle je dois faire un premier tri par rapport à mes freins, une fois cela fait je relève les offres qui m’intéresse, et autant être franc travailler 10h/semaine ou que 15 jours ne m’intéresse pas, le minimum pour moi serait 28h semaine et 1 an de travail. Dans ces conditions en 2 semaines j’ai relevé une trentaine d’offres frauduleuses (escroquerie, mal référencée sur la localisation, mal renseignée sur les impératifs de la prise de poste ou sur les coordonnées de l’entreprise). Mais depuis ma RQTH tout a changé, il est plus dur de trouver un poste qui correspond au critère de la médecine du travail et à mon handicap, pour ça il y a cap emploi. En 3 ans cap emploi m’a proposé 2 offres d’emploi qui ne correspondent pas aux freins induits par mon handicap, et n’ayant rien trouvé, ils m’ont envoyé suivre un programme de 3 mois pour rédiger des cv, des lettres de motivations et apprendre à prendre contact avec les entreprises, autant vous dire que j’ai passé 3mois à m’ennuyer puisque ce sont des choses que je savais déjà faire. Ce programme c’est fini en janvier dernier et je n’ai depuis plus de nouvelle d’eux. Malheureusement ma recherche d’emploi est induite par ma RQTH. Après Nov’ita m’a concrètement encore rien apporté pour le moment, c’est trop tôt pour pouvoir en témoigner. Je m’y implique par curiosité et pour mes attentes et espoirs c’est juste avoir un salaire et vivre normalement. Je ne vois vraiment pas ce que je pourrais rajouter.»
«Étant à la recherche d’un emploi depuis 5 ans, et ayant reçu une RQTH (reconnaissance en qualité de travailleur handicapé) depuis bientôt 3 ans, je suis en mesure de pointer du doigt tous les travers de la recherche d’emploi. Tout d’abord Pôle Emploi : en 5 ans j’ai rencontré ma référente qu’une seule et unique fois lors de l’inscription, entre temps j’ai déménagé à Lorient et dû me réinscrire là-bas où je n’ai cette fois rencontré personne, puisque j’ai directement été envoyé vers cap emploi, cependant maintenant que je suis revenu sur Vannes, je dois passer par eux ne serait-ce que pour faire mon changement d’adresse et pouvoir être suivi par le cap emploi de Vannes. Je ne peux faire ce changement ni sur internet ni par téléphone, j’ai donc contacté ma référente par mail il y a plus d’un mois pour connaître la marche à suivre et je n’ai à ce jour aucune réponse. De manière quotidienne je regarde les offres proposées par pôle emploi, à cause de ma situation actuelle je dois faire un premier tri par rapport à mes freins, une fois cela fait je relève les offres qui m’intéresse, et autant être franc travailler 10h/semaine ou que 15 jours ne m’intéresse pas, le minimum pour moi serait 28h semaine et 1 an de travail. Dans ces conditions en 2 semaines j’ai relevé une trentaine d’offres frauduleuses (escroquerie, mal référencée sur la localisation, mal renseignée sur les impératifs de la prise de poste ou sur les coordonnées de l’entreprise). Mais depuis ma RQTH tout a changé, il est plus dur de trouver un poste qui correspond au critère de la médecine du travail et à mon handicap, pour ça il y a cap emploi. En 3 ans cap emploi m’a proposé 2 offres d’emploi qui ne correspondent pas aux freins induits par mon handicap, et n’ayant rien trouvé, ils m’ont envoyé suivre un programme de 3 mois pour rédiger des cv, des lettres de motivations et apprendre à prendre contact avec les entreprises, autant vous dire que j’ai passé 3mois à m’ennuyer puisque ce sont des choses que je savais déjà faire. Ce programme c’est fini en janvier dernier et je n’ai depuis plus de nouvelle d’eux. Malheureusement ma recherche d’emploi est induite par ma RQTH. Après Nov’ita m’a concrètement encore rien apporté pour le moment, c’est trop tôt pour pouvoir en témoigner. Je m’y implique par curiosité et pour mes attentes et espoirs c’est juste avoir un salaire et vivre normalement. Je ne vois vraiment pas ce que je pourrais rajouter.»
Maïna, 18 ans, stagiaire

«Etant un œil extérieur de l’association Nov’ita, je vois des personnes bénévoles, sans emploi, salariés, retraités, étudiants qui sont d’une bienveillance incontestable. Ils sont tous solidaires, à l’écoute, serviables auprès des autres, mais surtout, les membres de l’association Nov’ita donnent tout pour venir à bout d’un projet avec évidemment un résultat qui sera remarquable. Bravo à eux pour leurs efforts et leurs actes poignants qui consistent à aider leur prochain.»
«Etant un œil extérieur de l’association Nov’ita, je vois des personnes bénévoles, sans emploi, salariés, retraités, étudiants qui sont d’une bienveillance incontestable. Ils sont tous solidaires, à l’écoute, serviables auprès des autres, mais surtout, les membres de l’association Nov’ita donnent tout pour venir à bout d’un projet avec évidemment un résultat qui sera remarquable. Bravo à eux pour leurs efforts et leurs actes poignants qui consistent à aider leur prochain.»
Une personne privée d’emploi et bénévole «Conciliation entre valeurs et travail»

«J’aime contribuer, participer, mériter ma place. Cela m’amène à la découverte de moi-même pour apprendre à offrir. Aujourd’hui ma vie se régit de principes qui m’aident à me découvrir, à m’aimer, me respecter; ces principes ont toute ma confiance. Dans ma découverte des entreprises, j’ai découvert nombre d’incohérence, le mal être, le rabaissement par intérêt, le dénigrement, qui ne s’harmonise pas avec les principes qui m’animent; cela m’a demandé du temps pour m’en rendre compte, du temps pour faire la paix avec les facettes de tout ce que j’ai pu assimiler jusque-là. Avec du recul, j’ai appris de ce qui m’anime en bien, le pourquoi je suis aimant me rend aimant à réaliser et m’apprend peu à peu à m’aimer, à redécouvrir des places, où me rendre utile m’anime de fierté (bien être). De part ce fait, le jeu m’accompagne et guide à la rencontre de ses aimants. Il va sans dire pour arriver dans cet état d’âme, respecter ce qui vous anime en bien, ne pas se mentir, être à l’écoute de soi, s’accorder du temps, accepter et apprendre à lâcher prise, apprendre à faire confiance en ce qui nous anime en bien pour la paix par amour du bien. Apprendre à se respecter, c’est apprendre à respecter le monde, apprendre à accepter, c’est apprendre à comprendre le point de vue différent et proposer un bien par conséquent. Il n’y a pas de course, prend ton temps pour te développer pleinement, accorde de l’amitié à tes principes et invites en d’autres dans le bien pour grandir ensemble.»
«J’aime contribuer, participer, mériter ma place. Cela m’amène à la découverte de moi-même pour apprendre à offrir. Aujourd’hui ma vie se régit de principes qui m’aident à me découvrir, à m’aimer, me respecter; ces principes ont toute ma confiance. Dans ma découverte des entreprises, j’ai découvert nombre d’incohérence, le mal être, le rabaissement par intérêt, le dénigrement, qui ne s’harmonise pas avec les principes qui m’animent; cela m’a demandé du temps pour m’en rendre compte, du temps pour faire la paix avec les facettes de tout ce que j’ai pu assimiler jusque-là. Avec du recul, j’ai appris de ce qui m’anime en bien, le pourquoi je suis aimant me rend aimant à réaliser et m’apprend peu à peu à m’aimer, à redécouvrir des places, où me rendre utile m’anime de fierté (bien être). De part ce fait, le jeu m’accompagne et guide à la rencontre de ses aimants. Il va sans dire pour arriver dans cet état d’âme, respecter ce qui vous anime en bien, ne pas se mentir, être à l’écoute de soi, s’accorder du temps, accepter et apprendre à lâcher prise, apprendre à faire confiance en ce qui nous anime en bien pour la paix par amour du bien. Apprendre à se respecter, c’est apprendre à respecter le monde, apprendre à accepter, c’est apprendre à comprendre le point de vue différent et proposer un bien par conséquent. Il n’y a pas de course, prend ton temps pour te développer pleinement, accorde de l’amitié à tes principes et invites en d’autres dans le bien pour grandir ensemble.»